
1918 – Le licenciement des ouvrières des usines de guerre
Présentation : Le document qui suit est une lettre, signée par un groupe d’ouvrières de la pyrotechnie de Saint-Étienne (archives départementales de la Loire, 2 R 133). Adressée au préfet

Présentation : Le document qui suit est une lettre, signée par un groupe d’ouvrières de la pyrotechnie de Saint-Étienne (archives départementales de la Loire, 2 R 133). Adressée au préfet

Présentation : Le texte qui suit, extrait des fonds des archives municipales de Saint-Étienne (article 6 F 186), est un projet de lettre, comportant quelques ratures, rédigé pour le compte

Léon de Seilhac, Les grèves du Chambon, Paris, Librairie Arthur Rousseau, coll. Bibliothèque du Musée social, 1912. Page 133 ANNEXE IV : L’affaire Reynaud. L’ouvrier mineur Reynaud accusait le

Léon de Seilhac, Les grèves du Chambon, Paris, Librairie Arthur Rousseau, coll. Bibliothèque du Musée social, 1912. Page 99 ANNEXES Nous donnons en annexes les principales pièces des

Léon de Seilhac, Les grèves du Chambon, Paris, Librairie Arthur Rousseau, coll. Bibliothèque du Musée social, 1912. Page 72 III. — LA SECONDE GRÈVE C’était par une paix

Léon de Seilhac, Les grèves du Chambon, Paris, Librairie Arthur Rousseau, coll. Bibliothèque du Musée social, 1912. Page 24 II. — LA PREMIÈRE GRÈVE On peut dire que

BIBLIOTHÈQUE DU MUSÉE SOCIAL LES GRÈVES DU CHAMBON PAR LÉON de SEILHAC Délégué permanent du Musée Social au Service Industriel et Ouvrier PARIS LIBRAIRIE ARTHUR ROUSSEAU ÉDITEUR 14, RUE SOUFFLOT,